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La prière au nom de tous les enfants de Dieu dans le monde
L’Éternel notre Dieu le Tout Puissant ; Merci pour tous tes bienfaits, merci pour cette période merveilleuse de jeûne et de prière, merci d’exaucer toutes nos demandes, merci de recevoir favorablement nos actions de grâce. Merci Père, car nous sommes aujourd’hui dans la période finale de ce monde là où tu vas manifester ta gloire comme tu l’as fait autrefois devant Pharaon, la mer rouge et au désert en faveur des Israélites. Père, ne permets jamais que l’homme devienne Dieu sur la terre. Ne permets jamais que ses plans d’éliminer sur la terre son semblable que tu as créé à ton image arrive au bout. Les méchants ont tendu un piège dans lequel ils ont planifié de jeter l’homme afin d’avoir sur la terre non pas l’homme que tu as créé mais l’homme qu’eux seulement désirent ! C’est catastrophique. Arrête Père, arrête ces plans sataniques. Il est temps aujourd’hui de manifester ta gloire comme tu l’as fait chef Pharaon. Merci Père, d’exaucer notre prière. Merci Père, car tu es notre unique Défenseur et Libérateur ! Aujourd’hui, nous tes enfants qui reconnaissons tous ces bienfaits, sois notre soutien pour toujours, sois notre conseiller, notre lumière, notre guide. Ne permets jamais que nous soyons dans leur filet tendu pour assassiner. Père, le monde est corrompu, les fléaux, les maladies, les guerres, les maux de toutes sortes, voilà ce qui constituent notre monde. C’est pourquoi, nous te disons que ton règne vienne. C’est par ton règne que le mal disparaitra. Que ta seule volonté s’accomplisse sur la terre comme au ciel. Au nom de Jésus, Amen !
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L’ALLIANCE ÉTERNELLE
« Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c’est qu’une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu’il est écrit: Le libérateur viendra de Sion, et il détournera de Jacob les impiétés; et ce sera mon alliance avec eux, lorsque j’ôterai leurs péchés. En ce qui concerne l’Évangile, ils sont ennemis à cause de vous; mais en ce qui concerne l’élection, ils sont aimés à cause de leurs pères. Car Dieu ne se repent pas de ses dons et de son appel. » Romains 11: 25-29
Leçon de Lundi, le 11 Novembre 2024
Chapitre 40
Une fausse idée du travail de la mère
La mère tentée de croire que son travail est sans importance—Le travail de la mère lui semble souvent n’avoir aucune importance. Il est en effet rarement apprécié. Les autres ne savent pas grand-chose de ses multiples responsabilités. Ses journées sont remplies d’une multitude de petites obligations qui toutes demandent de patients efforts, de la maîtrise de soi, du tact, de la sagesse et un amour fait d’abnégation; et pourtant, elle ne peut se vanter de ce qu’elle a fait comme d’un grand exploit. Elle a seulement veillé à ce que tout dans la maison se passe sans heurts. Souvent fatiguée et soucieuse, elle s’est efforcée de parler gentiment à ses enfants, de les occuper, de les rendre heureux et de guider leurs petits pieds dans le droit chemin. Il lui semble qu’elle n’a rien fait. Mais ce n’est pas le cas. Les anges du ciel veillent sur la mère épuisée et prennent note des charges qu’elle porte jour après jour. On peut ne pas connaître son nom dans le monde, mais il est écrit dans le livre de vie de l’Agneau.
L’épouse et la mère véritable ... accomplira son devoir avec dignité et bonne humeur, ne considérant pas comme une tâche humiliante d’accomplir de ses propres mains ce qu’il est nécessaire de faire dans une maison bien tenue.
Une tâche jugée inférieure au travail en pays de mission—Quelle œuvre importante que celle des mères! Et cependant nous savons que quelques-unes regrettent de ne pouvoir accomplir un travail missionnaire. Si elles pouvaient aller dans certains pays étrangers, il leur semble qu’elles feraient enfin quelque chose d’utile. L’accomplissement des occupations quotidiennes de la vie au foyer leur paraît une tâche épuisante et ingrate.
Les mères qui souhaiteraient travailler dans les champs missionnaires en ont un sous la main dans leur propre foyer. ... Les âmes de leurs enfants n’ont-elles pas autant de valeur que celles des païens? Avec quel soin et quelle tendresse ne devraient-elles pas veiller sur ces esprits en plein développement et orienter vers Dieu toutes leurs pensées! Qui pourrait faire cela mieux qu’une mère aimante et craignant le Seigneur?
Certaines s’imaginent qu’aussi longtemps qu’elles ne participent pas directement au travail missionnaire actif, elles n’accomplissent pas la volonté de Dieu; mais c’est une erreur. Tout le monde a une œuvre à accomplir pour le Maître. Rendre le foyer agréable et faire tout ce qui doit l’être est une tâche merveilleuse. Si son cœur appartient à Dieu, les plus humbles talents qu’une femme reçoit peuvent rendre la vie du foyer telle que Dieu la veut. Une vive lumière resplendira comme fruit du service accompli de bon cœur pour Dieu. Hommes et femmes peuvent assurément servir Dieu tout aussi bien que le pasteur en chaire, s’ils tiennent compte de ce qu’ils ont entendu, s’ils apprennent à leurs enfants à vivre et à se garder d’offenser Dieu.
Ces femmes qui accomplissent de bon cœur tout ce que leurs mains trouvent à faire, qui, avec joie, aident leur mari à porter son fardeau et instruisent leurs enfants dans la crainte de Dieu, sont des missionnaires dans toute l’acception du terme. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
Leçon de Mardi, le 12 Novembre 2024
Chapitre 40
Une fausse idée du travail de la mère
Les activités religieuses ne doivent pas prendre la place des obligations familiales—Si vous vous désintéressez de votre devoir d’épouse et de mère et que vous tendez les mains vers Dieu afin qu’il vous confie un autre genre de travail, soyez sûre qu’il ne se contredira pas lui-même; il vous montre la tâche que vous avez à accomplir à la maison. Si vous vous imaginez qu’une œuvre plus grande et plus sainte que celle-là vous a été confiée, vous vous trompez. Par la fidélité dans votre propre foyer, en agissant en faveur des âmes qui vous sont proches, vous pouvez acquérir les capacités qui vous permettront de travailler pour le Christ dans un domaine plus vaste. Mais soyez sûre que celles qui négligent leurs devoirs dans le cercle familial ne sont pas préparées à travailler en faveur d’autres âmes.
Le Seigneur ne vous a pas appelée à négliger votre foyer, votre mari et vos enfants. Il n’a jamais agi dans ce sens et ne le fera jamais. ... Ne pensez pas un instant que Dieu vous a confié une œuvre qui exige que vous vous sépariez de votre précieux petit troupeau. Ne les quittez pas de crainte qu’ils ne se pervertissent par de mauvaises fréquentations et n’endurcissent leur cœur à l’égard de leur mère. C’est en tout cas faire briller votre lumière de piètre façon. À cause de vous, vos enfants auront de grandes difficultés à devenir tels que Dieu les voudrait, et, finalement, à être admis dans le royaume des cieux. Dieu prend soin d’eux, et c’est aussi ce que vous devez faire si vous prétendez être son enfant.
C’est pendant les premières années de leur vie qu’il faut agir, veiller, prier et encourager toute tendance au bien. Cette tâche doit être poursuivie sans relâche. On peut vous prier d’assister à des réunions destinées aux mères de famille et à des séances de couture, afin que vous puissiez faire du travail missionnaire; mais si vous n’avez pas la possibilité de laisser vos enfants à une éducatrice fidèle et compréhensive, il est de votre devoir de répondre que le Seigneur vous a confié une autre tâche et qu’il ne serait pas sage de la négliger. Vous ne pouvez assumer aucun travail supplémentaire, de quelque ordre que ce soit, sans vous disqualifier pour l’œuvre d’éducation de vos tout-petits, que vous devez rendre tels que Dieu veut qu’ils soient. En tant que collaboratrice du Christ, vous devez les lui amener convenablement formés.
Une grande part des défauts de caractère d’un enfant mal élevé sont imputables à la mère. Celle-ci ne devrait pas accepter de charges dans l’église qui la contraignent à négliger ses enfants. La meilleure œuvre dans laquelle elle puisse s’engager consiste à veiller à ce que rien ne lui échappe dans l’éducation de ses enfants. ...
Une mère ne peut mieux aider l’église qu’en consacrant son temps à ceux qui dépendent d’elle pour leur éducation et leur instruction.
Vaines aspirations vers un champ missionnaire plus vaste—Certaines mères aspirent à s’engager dans un travail missionnaire, tandis qu’elles dédaignent les devoirs les plus simples qui sont directement à leur portée. Les enfants sont négligés, le foyer n’est pas rendu agréable et accueillant pour les membres de la famille; on y entend souvent des cris et des plaintes, et les jeunes y grandissent en pensant que leur maison est l’endroit le plus inhospitalier. Finalement, ils attendent avec impatience le jour où ils pourront la quitter, et c’est sans grand regret qu’ils se lancent dans le monde, puisqu’ils ne sont pas retenus par l’influence et les tendres conseils reçus au foyer.
Les parents, dont le seul but aurait dû être de s’attacher ces jeunes cœurs et de les guider vers le bien, gaspillent les occasions que Dieu leur a données, ferment les yeux sur les devoirs les plus importants de leur vie, et aspirent vainement à travailler dans le vaste champ missionnaire. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
Leçon de Mercredi, le 13 Novembre 2024
Chapitre 41
Conceptions erronées sur le rôle de la mère
Une martyre imaginaire—Bien des foyers sont malheureux à cause des plaintes incessantes de la maîtresse de maison, à qui répugnent les tâches les plus simples de sa modeste vie de ménagère. Elle considère les nécessités et les devoirs de sa charge comme de véritables épreuves. Ce qui, envisagé dans la bonne humeur, serait non seulement agréable et intéressant, mais encore profitable, devient une vraie corvée. Elle regarde avec aversion l’esclavage qu’est sa vie et se prend pour une martyre.
Il est vrai que les rouages de la vie domestique ne fonctionnent pas toujours en douceur; il y a souvent de quoi perdre patience et être fatiguée. Mais si les mères ne sont pas responsables des circonstances qui échappent à leur contrôle, il est indéniable que ces incidents sont accueillis très différemment d’une femme à l’autre dans le travail quotidien. Mais ce que l’on peut leur reprocher, c’est de permettre aux circonstances de l’emporter sur leurs principes et de les renverser, quand elles se fatiguent au point de négliger leurs responsabilités et de manquer à leurs devoirs.
L’épouse et mère qui surmonte courageusement les difficultés dans lesquelles d’autres s’enfoncent par manque de patience, de fermeté et de persévérance, non seulement acquiert pour elle-même la force d’accomplir son devoir, mais encore se qualifie, parce qu’elle a appris à vaincre les tentations et les obstacles, pour aider efficacement les autres, tant par la parole que par l’exemple. Beaucoup de celles qui agissent comme il le faut quand la situation est favorable semblent subir une altération de leur caractère dès que surviennent l’épreuve et l’adversité; leurs capacités diminuent à mesure que leurs soucis augmentent. Dieu n’a jamais voulu que nous soyons le jouet des circonstances.
Nourrir un mécontentement coupable—Beaucoup de maris et d’enfants ne trouvent rien d’attirant à la maison, où ils sont toujours accueillis par des plaintes et des cris; ils recherchent alors du bien-être et de l’amusement loin du foyer, dans un bar ou d’autres lieux de plaisir. L’épouse et mère, occupée par les soins du ménage, néglige les petites attentions qui rendent la vie du foyer agréable pour le mari et les enfants, même si elle évite de parler de ses soucis personnels en leur présence. Pendant qu’elle s’absorbe dans la préparation d’un plat ou la confection d’un vêtement, son mari et ses fils rentrent et sortent comme des étrangers.
Même si la maîtresse de maison accomplit ses devoirs extérieurs avec application, elle peut être continuellement en train de se plaindre de l’esclavage auquel elle est vouée et d’exagérer ses responsabilités et ses privations en comparant son sort à ce qu’elle imagine être la vie idéale d’une femme. ... Tandis qu’elle soupire vainement après une vie différente, elle nourrit un mécontentement coupable et rend l’atmosphère de son foyer très désagréable pour son mari et ses enfants.
Les vanités du monde—Satan a préparé des distractions très agréables pour les parents comme pour les enfants. Il sait que s’il peut exercer son pouvoir séducteur sur les mères, il y gagnera beaucoup. Les chemins du monde sont parsemés de mensonge, de ruse et de souffrance, mais ils se présentent sous un aspect séduisant; si les enfants et les jeunes gens ne sont pas soigneusement éduqués et instruits, ils s’écarteront certainement du droit chemin. S’ils n’ont pas des principes bien établis, ils auront du mal à résister à la tentation.
Assumer des charges inutiles—Bien des mères passent leur temps à des futilités. Elles accordent toute leur attention aux choses de ce monde et ne prennent pas le temps nécessaire pour réfléchir à celles de l’éternité. Un grand nombre d’entre elles négligent leurs enfants, lesquels grandissent dans la grossièreté, la vulgarité et l’ignorance.
Lorsque les parents, et tout spécialement les mamans, auront vraiment conscience de l’œuvre primordiale que Dieu leur a confiée, ils s’occuperont beaucoup moins des affaires de leurs voisins, qui ne les regardent en rien. Ils n’iront pas de maison en maison pour y faire de vains commérages et s’étendre sur les fautes, les erreurs et les inconséquences des autres. Ils considéreront l’éducation de leurs enfants comme une tâche si importante qu’ils ne trouveront plus le temps de critiquer autrui.
Si la femme recherche auprès de Dieu énergie et réconfort, et si elle essaie consciencieusement de mener à bien ses tâches quotidiennes, elle gagnera le respect et la confiance de son mari et verra ses enfants devenir des adultes respectables, qui ont la force morale de faire le bien. Mais celles qui négligent les occasions présentes et laissent à d’autres le soin de s’acquitter de leurs devoirs et de porter leurs fardeaux, s’apercevront que leur responsabilité reste la même; elles récolteront en amertume ce qu’elles auront semé en négligence et en indifférence. La vie n’est pas une affaire de hasard; la moisson dépendra de l’espèce de semence qui aura été répandue. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
Leçon de Jeudi, le 14 Novembre 2024
Chapitre 42
Santé et bonne présentation de la mère
La santé de la mère doit être soigneusement préservée—Les forces de la mère devraient être ménagées avec le plus grand soin. Au lieu de la laisser s’épuiser par un travail pénible, il faudrait lui éviter le plus possible les soucis et la soulager de ses fardeaux. Son mari ignore souvent certaines des lois naturelles que le bien-être de sa famille exigerait qu’il connaisse. Absorbé par la lutte pour la vie ou l’appât du gain ou pris par ses problèmes et ses tracas il laisse reposer sur sa femme, à une période particulièrement critique, des charges qui dépassent ses forces et sont causes pour elle de faiblesse et de maladie.
Dans son propre intérêt et celui de sa famille, elle doit s’épargner toute corvée inutile et user de tous les moyens dont elle dispose pour préserver la vie, la santé et la vigueur que Dieu lui a données; car elle a besoin de toutes ses facultés pour mener à bien sa lourde tâche. Elle devrait passer une partie de son temps en plein air, à faire des exercices, afin de reprendre des forces pour s’acquitter de ses tâches domestiques joyeusement et consciencieusement, tout en restant la lumière et la bénédiction du foyer.
Les mères doivent être les défenseurs de la réforme sanitaire—La volonté divine a été pleinement révélée à toutes les mères; Dieu veut qu’elles soient, par la parole et par l’exemple, les défenseurs de la réforme sanitaire. Elles devraient s’appuyer fermement sur les principes, afin de ne violer en aucun cas les lois physiques que Dieu a implantées en elles. « Fidèles aux principes », en toute intégrité, les mères recevront du ciel la puissance morale et la grâce qui leur permettront de faire briller leur lumière sur le monde, à la fois dans leur propre vie et dans la beauté du caractère de leurs enfants.
Exercer la maîtrise de soi dans le domaine alimentaire—La mère a besoin de posséder la plus parfaite maîtrise de soi; afin d’y parvenir, elle devrait prendre toutes les précautions susceptibles de lui éviter le moindre dérèglement d’ordre physique ou mental. Sa vie devrait être en accord avec les lois de Dieu et de la santé. Puisque le régime alimentaire affecte sensiblement l’esprit et le caractère, elle devrait être particulièrement attentive à cet égard, consommant des aliments nourrissants mais non excitants, afin de garder des nerfs solides et une humeur égale. Il lui sera plus facile de faire preuve de patience devant les différentes tendances de ses enfants et de gouverner ces derniers avec tendresse, certes, mais aussi avec fermeté.
Refléter la lumière du soleil en toutes circonstances—La mère devrait et pourrait faire beaucoup pour dominer ses nerfs en période de dépression. Même lorsqu’elle est malade, elle peut, si elle s’y exerce, être aimable et douce et supporter plus de bruit qu’elle ne l’aurait jamais cru. Elle ne devrait pas faire sentir à ses enfants ses faiblesses et assombrir leurs esprits jeunes et sensibles par son état dépressif, en leur donnant l’impression que la maison est un tombeau et la chambre de leur mère, l’endroit le plus ennuyeux du monde. L’esprit et les nerfs seront tonifiés et fortifiés par l’exercice de la volonté. La puissance de celle-ci s’avèrera dans bien des cas le meilleur calmant nerveux. Ne montrer pas à vos enfants un front soucieux.
Savoir conserver l’estime de son mari et de ses enfants—Pendant qu’elles travaillent, nos sœurs ne devraient jamais porter des vêtements qui les fassent ressembler à des épouvantails. Les voir vêtues d’habits seyants est bien plus agréable pour leur mari et leurs enfants que pour de simples visiteurs ou des étrangers. Certaines épouses et mères semblent s’imaginer que leur aspect n’a aucune importance, lorsqu’elles travaillent ou ne sont qu’avec leur mari et leurs enfants, alors qu’elles mettent beaucoup de soin à s’habiller avec goût pour recevoir des personnes qui ne leur sont rien. L’estime et l’amour du mari et des enfants ne doivent-ils pas revêtir une importance plus grande que la considération d’étrangers ou de simples amis? Aux yeux de chaque femme, le bonheur de son mari et de ses enfants devrait être plus sacré que celui de n’importe qui d’autre.
Portez des vêtements qui vous vont bien. Cela renforcera le respect que vous portent vos enfants. Veillez à ce qu’eux aussi soient vêtus d’une manière seyante. Ne leur permettez pas de prendre des habitudes de laisser-aller.
Ne pas être esclave du qu’en dira-t-on—Trop souvent les mères manifestent une sensibilité maladive à l’égard de ce que les autres risquent de penser de leurs habitudes, de leurs vêtements, de leurs idées; elles sont vraiment trop dépendantes de l’opinion d’autrui. N’est-il pas triste de voir le jugement et la conduite de certaines personnes obnibulés par la manière dont les voisins peuvent la juger plutôt que par leurs obligations envers Dieu? Trop fréquemment nous sacrifions la vérité aux coutumes, afin de ne pas tomber dans le ridicule. ...
Une mère ne peut se permettre d’être esclave du qu’en dira-t-on, car elle doit préparer ses enfants pour cette vie et pour la vie à venir. Elle ne devrait pas non plus chercher à se faire remarquer par des toilettes extravagantes.
Donner des leçons de propreté et de pureté—Si les mères se laissent aller à porter des vêtements sales à la maison, elles apprennent à leurs enfants les mêmes habitudes de négligence. Beaucoup d’entre elles pensent que n’importe quel vêtement est toujours assez bon pour être porté à la maison, fût-il sale et usé. De cette manière, elles se déprécient rapidement aux yeux de leur famille. Les enfants font la comparaison entre la tenue de leur mère et celle des autres, qui s’habillent proprement, et leur respect pour elle s’en trouve amoindri.
Mamans, soyez aussi attrayantes que possible; non en vous habillant avec recherche, mais en portant des vêtements propres et seyants. Vous donnerez ainsi à vos enfants des leçons de propreté et de pureté. L’amour et le respect de ses enfants devraient avoir la plus grande importance pour la mère. Tout en elle devrait refléter la netteté et l’ordre et être associé, dans leur esprit, à la pureté. Il y a un sens de l’harmonie, une idée de ce qui convient dans l’esprit de tous les jeunes enfants; et comment pourraient-ils être imprégnés du désir d’être purs et saints s’ils ne voient que des robes malpropres et des chambres en désordre? Comment les êtres célestes, dont la demeure se trouve là où tout est pur et saint, pourraient-ils être invités dans une telle maison?
Ordre et pureté, telle est la loi du ciel; si nous voulons vivre en harmonie avec l’atmosphère divine, nous devons faire preuve de propreté et de bon goût. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
Leçon de Vendredi, le 15 Novembre 2024
Chapitre 43
Influences prénatales
On devrait apprendre aux femmes à devenir de vraies mères—Les femmes ont besoin de beaucoup de patience pour apprendre à devenir de bonnes mères. Dieu a prescrit qu’elles soient formées pour cette tâche. Si celle-ci est accomplie avec l’aide du Christ, elle peut avoir une valeur infinie. Elle dépasse tout ce que l’on peut concevoir. L’œuvre de la femme est sacrée. La présence de Jésus est nécessaire au foyer, car le ministère de la femme peut faire de celui-ci un nouveau Béthel. Les époux doivent coopérer. Quel monde n’aurions-nous pas si toutes les mères acceptaient de se consacrer sur l’autel de Dieu, elles-mêmes d’abord, puis leurs enfants, aussi bien avant qu’après leur naissance!
Importance des influences prénatales—Beaucoup de parents tiennent pour négligeables les influences prénatales, mais il n’en est pas de même pour Dieu. Le message apporté deux fois, de la manière la plus solennelle, par un ange à Manoach montre que ce sujet doit retenir notre plus grande attention.
En s’adressant à cette mère hébraïque [la femme de Manoach], Dieu parle pour les mères de tous les siècles: « Elle observera tout ce que je lui ai prescrit. » Le bien-être de l’enfant à venir dépend donc énormément des habitudes de sa mère, dont les goûts et les passions doivent être soumis à des principes. Si elle veut accomplir le dessein que Dieu a formé en lui donnant un enfant, elle doit éviter, s’interdire un certain nombre de choses.
De nombreux pièges attendent les jeunes dans le monde, et ils sont légion ceux qu’attire une vie faite de plaisirs égoïstes et sensuels. Ils ne peuvent discerner les dangers cachés, ni l’issue redoutable du sentier qui semble les conduire au bonheur. La satisfaction de leurs appétits et de leurs passions épuise leurs énergies, et c’est ainsi que des millions d’entre eux se perdent pour cette vie et pour l’éternité. Les parents ne devraient pas oublier que leurs enfants rencontreront ces tentations et il faudrait qu’ils les préparent à les surmonter dès avant leur naissance.
Avant la naissance, si elle [la mère] s’écoute, si elle est égoïste, impatiente et exigeante, ces traits de caractère se retrouveront chez le petit être. C’est ainsi que bien des enfants ont reçu à leur naissance des tendances au mal presque insurmontables.
Mais si la mère s’attache fermement à de bons principes, si elle pratique la tempérance et cultive l’abnégation, si elle est aimable et bonne, elle peut transmettre à son enfant ces précieuses qualités.
L’essentiel des soins prénatals—On commet généralement l’erreur de ne pas apporter de changements dans la vie d’une femme avant la naissance de ses enfants. Pendant cette période importante, son travail devrait être allégé. De grands bouleversements se produisent en elle. Cela requiert une plus grande quantité de sang et par conséquent un surcroît de nourriture de qualité destinée à être transformée en sang. Si elle ne consomme pas une quantité suffisante d’aliments nourrissants, elle ne peut conserver toute sa vigueur physique, ce qui altère la vitalité de l’enfant qu’elle attend. Il lui faut également veiller à ses vêtements. Elle devrait prendre soin de protéger son corps de toute sensation de froid et ne pas faire inutilement appel à sa vigueur pour suppléer le manque de vêtements confortables. Si la femme enceinte est privée d’une nourriture abondante et saine, son sang sera appauvri, sa circulation sera perturbée et son enfant souffrira des mêmes carences; il lui sera impossible de trouver les éléments dont son propre sang a besoin pour le former. La santé de la mère et celle de l’enfant dépendent donc beaucoup du confort des vêtements et de la qualité des aliments consommés.
On doit prendre grand soin de placer la future mère dans une atmosphère heureuse et paisible. Le mari a la responsabilité de faire tout ce qui est en son pouvoir pour alléger ses tâches. Il devrait assumer, autant que possible, les soins que l’état de sa femme réclame. Il doit être affable, courtois, compréhensif, affectueux et spécialement attentif à tous ses désirs. On n’accorde pas à certaines femmes qui portent un enfant la moitié des soins que l’on prodigue aux animaux dans les étables. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
Leçon de Samedi, le 16 Novembre 2024
Chapitre 43
Influences prénatales
L’appétit seul n’est pas un guide sûr—L’idée que les femmes, à cause de leur état, peuvent se permettre des excès de nourriture est basée sur l’usage et non sur le bon sens. L’appétit des femmes enceintes peut être changeant, capricieux et difficile à satisfaire; et la coutume veut qu’elles s’accordent ce dont elles ont envie, sans se demander si tout cela pourra nourrir leur corps et favoriser la croissance de leur enfant. Les aliments doivent être nourrissants, mais non excitants. ... Si le besoin de simplifier le régime alimentaire et de veiller à la qualité de leur alimentation se fait jamais sentir, c’est bien au cours de cette importante période.
Les femmes, qui ont des principes et qui ont été bien instruites, ne se départiront de la simplicité de leur régime alimentaire pas plus à ce moment-là qu’en temps ordinaire. Elles se souviendront qu’une autre vie dépend d’elles et veilleront soigneusement à toutes leurs habitudes, et spécialement à leur alimentation. Elles ne consommeront rien de malsain ni d’excitant, simplement parce que cela flatte leur palais. Trop de personnes bien intentionnées leur conseilleront de faire des choses que la raison leur interdit. Des enfants sont nés malades parce que leurs parents avaient cédé à leurs appétits. ...
Si une trop grande quantité de nourriture est ingérée, les organes digestifs se surmènent pour la digérer et libérer le corps de ses toxines; la mère se fait ainsi du tort à elle-même et expose sa progéniture à la maladie. Si elle choisit de manger à sa guise ce qu’elle trouve agréable, sans se soucier des conséquences, elle ne sera pas seule à en subir les effets. Son enfant innocent souffrira, lui aussi, de son imprudence.
Nécessité de la maîtrise de soi et de la modération—Les besoins physiques de la mère ne devraient en aucun cas être négligés: deux vies dépendent d’elle. Ses désirs devraient donc être considérés avec bienveillance et ses besoins largement satisfaits. Mais à ce moment-là plus qu’à n’importe quel autre, elle devrait éviter, dans son alimentation et en toutes choses, ce qui affaiblirait ses forces physiques et mentales. Le commandement de Dieu la place sous l’obligation solennelle de se dominer.
C’est par des habitudes de stricte discipline que la mère assure, dès avant la naissance de son enfant, les bases d’un caractère droit. ... Ce sujet devrait être étudié avec intérêt.
Favoriser la joie et la bonne humeur—Quel que soit son entourage, toute femme sur le point de devenir mère devrait s’efforcer d’être toujours joyeuse, aimable et satisfaite, en sachant que tous ses efforts dans ce sens lui seront payés au centuple par les dispositions physiques et morales de ses enfants. Bien plus: elle peut, de cette façon, cultiver pour elle-même un esprit serein qui se reflétera sur sa famille et sur tous ceux qu’elle sera appelée à fréquenter. Sa santé physique en sera grandement améliorée. De nouvelles forces jailliront du plus profond de son être, son sang coulera plus vite que si elle se laissait aller au découragement. Sa santé mentale sera améliorée par sa tranquillité d’esprit. Sa volonté est assez forte pour résister aux sautes d’humeur et ses nerfs en seront grandement soulagés. Les enfants qui ont été privés de la vitalité qu’ils auraient dû hériter de leurs parents devraient être entourés des soins les plus attentifs. Par un respect absolu des lois corporelles on peut grandement améliorer l’état de beaucoup de choses.
Garder sérénité et confiance—Celle qui s’apprête à devenir mère devrait se réfugier dans l’amour de Dieu. Son esprit doit être en paix; elle devrait se confier dans l’amour de Jésus, mettre en pratique ses paroles, se rappeler que la mère est la collaboratrice de Dieu. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
Leçon de Dimanche, le 17 Novembre 2024
Chapitre 44
Soins à donner aux petits enfants
Recommandations à la mère qui allaite—Le meilleur aliment pour le bébé est celui que la nature lui fournit. Il ne devrait pas en être privé sans nécessité. Il faut être sans cœur pour se libérer, afin de conserver ses aises et sa liberté, du devoir si doux d’allaiter son enfant.
La période pendant laquelle l’enfant reçoit le lait de sa mère est très importante. Bien des mamans, au cours de ces mois, s’épuisent au travail, se chargent le sang par leur alimentation; le bébé s’en trouve sérieusement affaibli, non seulement parce que le lait maternel subit les effets de l’énervement, mais parce que son propre sang est empoisonné par suite du régime malsain de sa mère, qui perturbe tout l’organisme de celle-ci ainsi que la nourriture de l’enfant. Ce dernier est en outre influencé par l’état d’esprit de sa mère. Si elle est malheureuse, facilement agitée, irritable, portée à manifester ses passions, la nourriture que le bébé va recevoir d’elle sera de nature à provoquer des coliques, des spasmes et même, dans certains cas, des convulsions et des attaques.
Le caractère de l’enfant est aussi plus ou moins affecté par la qualité de l’alimentation que ce dernier reçoit de sa mère. Il est donc important que celle-ci, durant la période de l’allaitement, s’efforce de se maintenir dans un état d’esprit optimiste et de se dominer. En agissant ainsi, elle évite d’altérer la nourriture de son enfant; de plus, le calme et la maîtrise de soi qu’elle conserve quand elle s’occupe du bébé ont une influence favorable sur la formation mentale de celui-ci. Si l’enfant est nerveux et facilement agité, l’attitude prudente et patiente de sa mère tendra à l’apaiser, à le corriger, et à améliorer nettement sa santé.
Plus la vie d’un enfant est simple et paisible, plus elle est favorable à son développement physique et mental. En tout temps, la mère devrait s’efforcer d’être calme et maîtresse d’elle-même.
La nourriture ne remplace pas des soins attentifs—Bien des enfants ont souffert de soins inappropriés. Lorsqu’ils étaient difficiles, on leur donnait à manger pour les calmer, alors que, dans la plupart des cas, leur irritabilité provenait justement du fait qu’ils avaient déjà reçu une trop grande quantité d’une nourriture rendue malsaine par les mauvaises habitudes diététiques de leur mère. Un surcroît d’aliments ne faisait qu’aggraver les choses, leur estomac étant déjà surchargé.
Les enfants sont généralement élevés, dès le berceau, suivant le principe qu’ils peuvent satisfaire leur appétit, et on leur dit qu’ils vivent pour manger. Leur mère joue un grand rôle dans la formation de leur caractère durant leur tendre enfance. Elle peut leur apprendre soit à contrôler leur appétit, soit à le satisfaire et à devenir des gloutons. Très souvent elle dresse un plan de travail pour la journée et, lorsque ses enfants la dérangent, au lieu de prendre le temps d’apaiser leurs petits chagrins et de les distraire, elle leur donne quelque chose à manger pour qu’ils se tiennent tranquilles, ce qui réussit pendant un certain temps, mais peut, en fin de compte, aggraver les choses. L’estomac des enfants a été surchargé de nourriture alors qu’ils n’en avaient pas le moindre besoin. Tout ce qu’ils voulaient, c’était un peu du temps et de l’attention de leur mère. Mais celle-ci considère son temps comme trop précieux pour être consacré à l’amusement de ses enfants. Peut-être pense-t-elle que l’agencement de sa maison, les compliments qu’elle en retirera, et la préparation très élaborée des repas, sont plus dignes d’intérêt que le bonheur et la santé de ses enfants. ( Leçon de l’École du sabbat du 03 Août 2024 porte sur le livre " LE FOYER CHRÉTIEN» d'Ellen G. White)
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Ainsi
dit l'Éternel le Chef de l'armée
« L'Éternel m'adressa la parole, et il dit: Écris la prophétie: Grave-la sur des tables, afin qu'on la lise couramment. Car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas; si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira, elle s'accomplira certainement. Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui; Mais le juste vivra par sa foi. » Habacuc 2 : 1-4
Une
nation sainte, une race élue
« Vous,
au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte,
un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a
appelés des ténèbres à son admirable lumière. » 1 Pierre 2: 9
On
est soit de l'Église, soit du monde
«
Sur la terre, il n'y a que deux classes : l'Église et le monde. Mais quand
l'Église fait une alliance avec le monde, que ce soit formellement ou bien en
adoptant les méthodes et les principes du monde, il n'existe qu'une seule
classe : le monde. Cependant, par la grâce de Dieu, il y a toujours eu quelques
fidèles, même aux époques de grande apostasie. » Leçon de l'École du Sabbat
(2011-2012), l'Alliance Éternelle, p.549
Que
le livre de la loi ne s'éloigne point de ta bouche
« Nul
ne tiendra devant toi, tant que tu vivras. Je serai avec toi, comme j'ai été
avec Moïse; je ne te délaisserai point, je ne t'abandonnerai point.
Fortifie-toi et prends courage, car c'est toi qui mettras ce peuple en
possession du pays que j'ai juré à leurs pères de leur donner. Fortifie-toi
seulement et aie bon courage, en agissant fidèlement selon toute la loi que
Moïse, mon serviteur, t'a prescrite; ne t'en détourne ni à droite ni à gauche,
afin de réussir dans tout ce que tu entreprendras. Que ce livre de la loi ne
s'éloigne point de ta bouche; médite-le jour et nuit, pour agir fidèlement
selon tout ce qui y est écrit; car c'est alors que tu auras du succès dans tes
entreprises, c'est alors que tu réussiras. Ne t'ai-je pas donné cet ordre:
Fortifie-toi et prends courage? Ne t'effraie point et ne t'épouvante point, car
l'Éternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu entreprendras. »
Josué 1 : 5-9
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